POUR MA SANTE

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 10 ans

J'avais un vieux médecin, un vrai médecin diplômé mais en réalité sans doute plus proche du guérisseur. Il avait, entre autre, une passion pour les orties. A ces yeux cette plante avait des vertus miraculeuses. En utilisant les feuilles ou les racines il soignait un nombre considérable de maux. Il la disait efficace contre les rhumatismes, la goutte, les calculs urinaires. D'après lui elle arrête les saignements de nez, les crachements de  s a n g . Elle fait venir le lait chez les femmes, régularise les règles, supprime les crampes et calme les ulcères. En lotion elle nettoie la peau, fait disparaître l'acné et l'eczéma et combat la chute des cheveux. Et j'en passe ! Mais je ne suis pas la pour vous faire un cours de médecine. Simplement j'ai actuellement une maîtresse qui, si j'en crois ma cruelle expérience, a certainement connu mon médecin et s'emploie à me soigner énergiquement à l'aide de cette plante. A moins qu'elle ait lu le poète latin Pétrone qui préconisait, pour renflouer la virilité déficiente des hommes, de les fouetter avec un bouquet d'orties "au-dessous du nombril, sur les reins et sur les fesses". Le problème c'est que ma Maîtresse n'a pas l'air d'être très au courant de la posologie. Pour que vous puissiez vous faire une opinion je vous raconte mon après-midi. Quand j'arrive à quatorze heure elle m'accueille avec un grand sourire, ce qui n'est pas son habitude et qui n'est pas sans m'inquiéter. Outre le matériel habituel accroché au mur je remarque sur une petite table une paire de gant, des ciseaux, une grande cuvette et plusieurs sacs en plastique transparent. Une fois nu elle m'enfile une cagoule en latex sans ouvertures avec l'emplacement des yeux me rendant vraiment aveugle. Elle me fixe un large collier qui m'oblige à tenir la tête haute et m'entrave les mains derrière le dos. Tout cela sans dire un mot. Une laisse est accrochée à mon collier. 'Il fait beau' me dit elle enfin, 'Nous allons faire une petite promenade dans le parc. Il faut marcher s'est excellent pour la santé'. Elle me pousse vers la porte fenêtre qui donne sur la terrasse. Maintenant elle me tire derrière elle sur une allée gravillonnée très douloureuse pour mes plantes de pieds. J'ai quelque difficulté à la suivre. Heureusement nous passons ensuite sur de l'herbe ce qui est beaucoup plus confortable. J'entend un petit gloussement de plaisir et j'en comprend vite la raison. Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de marcher pied nu dans un carré de jeunes orties. Et bien je vous le déconseille. Les piqures sont intenses de la plante des pieds aux mollets. 'Ne bouge plus'. J'entend le bruit des ciseaux et j'imagine la cuvette se remplissant. 'c'est la bonne saison', reprend elle, 'au printemps les pousses sont jeunes et gonflées de liquide urticant. tu va voir comme c'est bon'. La cueillette doit être importante car les ciseaux s'activent. 'Il faut prendre le haut des tiges et les manier délicatement pour ne pas les froisser.' Silence. 'Voila, cela devrait suffire. Approche et tourne toi. J'ai une belle tige pour ton cul'. Elle m'écarte les fesses et m'introduit brusquement la tige dans l'anus. J'ai envie d'hurler mais je sais que cela ne ferait qu'aggraver mon cas. Le retour vers la maison est des plus pénible avec mes pieds douloureux et ma tige dans le cul qui à chaque pas déclenche de nouvelles piqûres. Le retour sur les graviers ne facilite pas les choses et je suis heureux de retrouver le sol pavé de la terrasse et les carreaux du donjon qui par leur fraîcheur soulagent ma douleur. La tige est retirée brutalement de mon cul et placée sans ménagement entre mes deux fesses. Ma maîtresse malaxe mon fessier et tire d'un seul coup la tige pour que tous les petits poils restent planter dans la peau. Mon petit cri la fait rire. Elle me pousse le dos au mur et attache mon collier à un crochet pour m'empêcher de bouger. 'Passons aux choses sérieuses, je vais remplir ces sacs d 'orties et les placer sur ton sexe. Je le décalotte au préalable pour que ce soit plus drôle'. Je n'ai pas longtemps à attendre pour sentir le sac venir recouvrir mon sexe et les couilles. 'Je vais maintenant te branler très doucement'. Elle répartit les orties autour de mon sexe, de mon gland, de mes bourses et elle commence à frotter doucement ou a serrer brusquement. Elle insiste sous le dessous du gland. 'Tu vois, ce n'est pas si terrible. Cinq minutes et j'arrête'. Effectivement j'ai le sexe en feu mais après la douleur intense du début vient une certaine accoutumance. 'Voila, c'est bien de ne pas te plaindre. Repose toi je reviens dans dix minutes'. 'Pour que le traitement soit efficace' me dit-elle, 'il faut le renouveler encore deux fois avec une période de repos pour laisser aux substances actives le temps de produire leur effet'. Elle recommence donc à malaxer un autre sac bourré d'orties en s'activant avec beaucoup plus d'énergie que la première fois. J'ai du mal a retenir mes plaintes. Les jeunes pousses sont particulièrement urticantes et je souffre vraiment. Je suis soulagé quand je sens qu'elle m'enlève le dernier sac. Elle me détache du mur et m'enlève la cagoule. 'regarde comme ton sexe est beau'. Je vois seulement un sexe qui a doublé de largeur, un gland rouge et couvert de petits ronds plus pâles et des bourses qui me paraissent bizarres. 'Couche toi sur le dos'. Elle me pousse durement sur ce qu'elle appelle son plan de travail. Elle m'attache les poignés au dessus de la tête et ensuite les chevilles de manière à ce que mes jambes soient bien écartées. 'Comme tu as été courageux tu auras droit à deux petites doses supplémentaires de mon traitement'. Elle me montre une petite tige d'ortie et m'en introduit doucement l'extrémité dans l'urètre. 'regarde comme c'est joli'. La deuxième dose arrive avec une fessée d'orties à l'intérieur des cuisses et sur le ventre. Je voudrais bien que cela s'arrête ! 'Voila, c'est terminé. Maintenant je vais te laisser te reposer. Tu vas voir comme tu vas être bien'. Elle m'enlève la tige plantée dans mon sexe. Cela fait cinq à dix minutes que je suis sur le dos. Curieusement se sont mes piqûres aux mollets qui me démanges le plus et que j'ai de la peine à supporter. Je ressent au niveau de mon sexe de légers fourmillements plutôt agréables. Ma Maîtresse est à son bureau et répond à ses mails sur son ordinateur. De temps à autres elle jette un coup d'œil dans ma direction. Au bout d'une demie heure les fourmillements se sont amplifiés et je ressent dans mon sexe un premier spasme léger, un deuxième plus fort. Le rythme des spasmes s'accélère et leur intensité augmente. Ma Maîtresse se lève et me place un petit récipient sur le ventre. 'Ce serait dommage de gaspiller ton sperme'. Les spasmes sont maintenant d'une telle intensité qu'ils se propagent dans tout le corps. mes jambes tremblent. Je sens, sans vraiment jouir, le sperme s'écouler et j'ai l'impression que cela ne s'arrêtera jamais. Je n'ai jamais ressenti auparavant de telles sensations. Je ne sais pas combien de secondes ou de minutes j'ai été ainsi secoué des pieds à la tête. Puis la tempête s'est doucement éloignée et je me suis senti complètement vidé (au sens propre et au figuré), épuisé. Ma récompense a été mon sperme versé lentement dans ma bouche pour que j'en profite. Elle sait que cela me fait horreur. Je suis reparti avec des sensations mitigées, sans savoir bien si j'avais aimé ou non ce traitement de choc. Les fourmillements se sont atténués au bout d'une dizaine d'heures et mon sexe a repris son allure normale. Je ne suis pas certain que le traitement ait réellement augmenté ma virilité dans les mois qui ont suivi. Une question de fréquence peut-être ? Mais maintenant, vous me croirez ou pas, j'espère bien avoir droit, au printemps prochain, à une nouvelle cure.

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